Horoscope hebdomadaire détaillé pour Bélier
Semaine du Lundi 15 Septembre 2025

● Bélier - Amour
Couples : Vos relations avec votre conjoint pourront passer par une phase en demi-teinte. N'en faites pas toute une histoire. Il est évident qu'en vivant tout le temps ensemble, on ne peut pas baigner en permanence dans un climat de passion échevelée ! La tendresse tranquille a aussi ses charmes, non ?

Célibataires : Sous l'impulsion de Mercure, l'amour sera au centre de vos préoccupations. Selon votre tempérament et le hasard des rencontres, Vénus pourra vous amener à vous engager sérieusement dans une relation nouvelle, ou au contraire à accumuler les aventures.

● Bélier - Argent
Votre équilibre financier ne devrait pas poser trop de problèmes, vu cette position de Saturne. Attention toutefois à la Lune : même si les choses s'améliorent, ce ne sera pas encore le Pérou, et mieux vaudra rester raisonnable.

● Bélier - Santé
Côté santé, vous bénéficierez d'une très bonne protection astrale. Votre besoin intense d'action contribuera à l'équilibre général de votre organisme. Vos aptitudes sportives en seront améliorées. Si vous venez de subir une intervention chirurgicale, rassurez-vous, votre rétablissement sera rapide.

● Bélier - Travail
Cette période, placée sous la férule de la planète Vénus, sera celle d'une stabilisation de la situation professionnelle, de l'ambition satisfaite ou de la marche vers la réussite totale d'une entreprise d'envergure. Il ne serait pas exagéré de dire qu'une telle période est propice à l'action mûrie par la réflexion et qu'elle peut compter parmi les meilleures dans l'existence d'une personne.

● Bélier - Famille
Avec Mars en cet aspect, votre vie familiale sera placée sous le signe d'une certaine effervescence. Pour des raisons liées à votre activité professionnelle ou autres, vous pourriez envisager un déménagement. Vos relations avec vos enfants passeront par des hauts et des bas.

● Bélier - Citation de la semaine
"Il y a autant de douleurs dans l'amour que de coquillages sur la rive" (Ovide).