Lettre d'amour : 45. Le thé (diaprée)
J'ai compris je crois tes silences, ton regard sur moi à chaque seconde. J'ai compris ta présence, discrète et permanente. Je l'ai deviné, avec ta tendresse, ce soir là quand je n'étais pas bien. Comment ai-je fait pour ne pas m'en rendre compte?
J'aime ces quelques minutes avec toi à partager ce thé, le soir. J'aime ta présence paisible chaque jour. J'ai compris finalement que tu ne diras rien, que tu n'essaieras pas, que c'est à moi de venir vers toi.
Alors si tu es d'accord, ce soir, après ce thé... ne pars pas. Je reviendrai m'asseoir plus près de toi après avoir débarrassé nos tasses. Et ce n'est pas important si on ne dit rien, si on ne fait rien. Je veux juste passer plus de temps près de toi.
Citations
Toutes les bonnes choses qui existent sont le fruit de l'originalité (J. Stuart Mill).
En amour, celui qui est guéri le premier est toujours le mieux guéri (La Rochefoucauld).
Les livres n'épuisent pas les paroles, les paroles n'épuisent pas les idées (proverbe chinois).
Tout défaut qui plaît au Sultan est une qualité (proverbe persan).
En amour, celui qui est guéri le premier est toujours le mieux guéri (La Rochefoucauld).
Les livres n'épuisent pas les paroles, les paroles n'épuisent pas les idées (proverbe chinois).
Tout défaut qui plaît au Sultan est une qualité (proverbe persan).