19. A toi mon Bernardino (Jennifer)
À toi mon Bernardino dont le prénom
Sonne comme le prolongement du mien,
Ce prénom qui m'enchante,
Fait sauter mon coeur .
À toi, magicien, sorcier de mes jours,
Alchimiste de mes nuits, si belles depuis
Notre rencontre.
Ne m'en veux pas si tes rêves m'emportent,
Pardonne-moi si mes sens s'égarent encore
Quand tu es tout près de moi.
Comment saurais-je te retenir
Dans mon coeur enflammé ?
Quand ma peau presse la tienne,
Quel chamboulement
Envie de toi, soif de tes baisers,
Besoin de ton amour
Désir inextinguible
Brûlure de tes caresses
Douceur apaisante de ton regard.
Citations
La sagesse est au fond de la marmite (Van Minh).
La maladie d'amour ne tue que ceux qui doivent mourir dans l'année (Marguerite de Navarre).
Une unité de temps vaut mille unités d'or (proverbe chinois).
Plutôt mon corbeau que le rossignol d'autrui (proverbe turc).
La maladie d'amour ne tue que ceux qui doivent mourir dans l'année (Marguerite de Navarre).
Une unité de temps vaut mille unités d'or (proverbe chinois).
Plutôt mon corbeau que le rossignol d'autrui (proverbe turc).