
14. La promesse (Mylène)
Autant de routes, tant de frontières,
à travers monts et vallées...
tant de parfum , suaves de mystères,
comment pourrais-je te retrouver ?
Si le chemin m'a menée au loin,
sous le couvert du feuillage...
il me ramènera, c'est le destin ,
aussitôt passée l'orage...
Comme les oiseaux au printemps
à tire d'aile contre le vent...contre le temps...
Il a suffit d'une promesse,
arrogante mais modeste,
pour que s'anime l'éternité...
Comme le souvenir est futile,
si petit et si fragile,
contre les bourrasques du passé...
Il y a si longtemps que je n'ai pas plongé au creux de tes yeux...
mais le chemin, je le connais d'instinct...
alors je reviendrai si tu le veux,
ainsi sera mon destin ...