La montagne
La montagne
Comment photographie-t-on les montagnes ?
● Il est assez difficile de rendre compte de l'échelle d'un paysage montagneux : une vue au grand-angulaire peut faire apparaître une chaîne de montagnes trop petite et décevante, alors qu'une vue rapprochée déformera la perspective et exclura le premier plan. La meilleure solution consiste souvent à choisir un point de vue à partir duquel un petit téléobjectif agrandira les montagnes éloignées afin que leur élévation soit amplifiée, tout en incluant des éléments placés à mi-chemin pour cadrer l'image.
Doit-on toujours filtrer ?
● En photographie de montagne, il est important de neutraliser le voile atmosphérique.
● Si vous utilisez un film noir et blanc, ayez recours à un filtre jaune ou orange.
● Avec un film couleur, utilisez un filtre UV ou skylight afin de réduire les brumes bleutées qui se produisent en altitude.
● Si vous photographiez au lever ou au coucher du soleil, la lumière chaude réduit les dominantes bleues des nuages.
Quand a-t-on avantage à photographier les montagnes ?
● Le début de la matinée et la fin de l'après-midi, quand des ombres allongées modèlent les contours, sont les meilleurs moments pour photographier les montagnes.
● S'il s'agit d'une scène de neige, il y a de fortes chances que le posemètre de l'appareil soit trompé par la réverbération et conduise à une sous-exposition. Il faut donc surexposer d'un ou de deux crans suivant l'intensité de la réverbération.
Citations
La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses (Platon).
Amour, amour, quand tu nous tiens, on peut bien dire : adieu, prudence ! (La Fontaine).
Quand il y a du riz qui moisit à la cuisine, il y a un pauvre qui meurt de faim à la porte (proverbe chinois).
Le plaisir de trouver vaut mieux que ce que l'on trouve (proverbe persan).
Amour, amour, quand tu nous tiens, on peut bien dire : adieu, prudence ! (La Fontaine).
Quand il y a du riz qui moisit à la cuisine, il y a un pauvre qui meurt de faim à la porte (proverbe chinois).
Le plaisir de trouver vaut mieux que ce que l'on trouve (proverbe persan).